Maintenant sur youtube et dailymotion.

vendredi 27 novembre 2009

Et en avant la musique.

Voilà maintenant un an que je me sers de cette tribune pour déverser ma bile et mes remarques cinglantes sur tout et j'ai remarqué que, pas une fois, je n'ai critiqué les deux mondes dans lesquels j'évolue le plus souvent à savoir la musique et le boulot.
Pour d'évidentes raisons de fliquage des données transférées depuis mon ordinateur sur la toile internet, je ne me permettrai ni de donner le nom de l'entreprise pour laquelle je travaille, ni à quel poste je me trouve, ni dans quelle position et encore moins sous quels bureaux de fortune mon ambition dévorante pour l'argent et le pouvoir m'a poussé à de longues heures de méditation les genoux au sol et la bouche emplie de "reconnaissance".
Bref, aussi impartial et impudique que je puisse être, je ne vous dévoilerai pas cette partie de ma vie professionnelle qui, j'en suis sûr, en ferait chier plus d'un.
Aujourd'hui je vais vous parler musique. J'ai volontairement esquivé le sujet pour ne pas reproduire les envolées lyriques qu'a suscité la première (et seule) vidéo de mon être nu et passablement bourré en train de chanter d'une voix mélodieuse de taureau allant se faire châtrer. Mais cette fois je me lance.
Depuis cette navrante représentation de ce que j'appellerai... la manifestation d'une frustration atavique pour tout ce qui ressemble de près ou de loin à de l'art, bien d'autres ont suivi, toutes aussi navrantes, mais dont les pires éloges le disputent aux meilleurs dénigrements. Et, de fil en aiguille, je me suis retrouvé avec une flopée de chansons dont la plus joviale de mes belles-sœurs a semblé apprécier à maintes reprises les prestations répétées.
Dépourvu de talent mais conscient de mon travail, je me prépare donc à commettre un album qui ne devrait normalement pas changer grand chose dans le monde de la musique mais au moins satisfaire l'ego surdimensionné qui bat sous mon cœur d'airain et qui me permet, à l'instar des politiques et exhibitionnistes du champ de Mars, de montrer mon immense culture à tous les passants.
J'ai commencé ce texte en vous disant que je parlerai milieu de la musique, et ben vous allez pas être déçus. Évidemment, les critiques que je m'apprête à faire sont aisément réfutables pour quiconque ne prendrait pas ces quelques lignes que j'aspire à rédiger avec tout le recul nécessaire à l'analyse que j'ai réalisée.
Euh attendez...Oui donc je disais : faut pas tout prendre au premier degré hein !!
Déjà, et vous vous en doutez, un musicien c'est forcément quelqu'un de malheureux. Sinon, il n'aurait rien à dire et serait fatalement célèbre. La célébrité justement doit s'acquérir, non pas à la faveur du plus grand nombre, mais dans le microcosme dans lequel joue le musicien, sinon il se retrouve à devoir dire merci à un militant UMP passant par-là avant de se jeter dans la Seine (le militant pas le musicien, suivez un peu c'est agaçant à la fin de devoir faire des digressions pour ceux qui ont un wagon de retard) et de se retrouver (cette fois c'est le musicien) à devoir remettre toute sa création en question.
Un musicien se doit d'être accompagné d'une flopée de fan de la première heure, en particulier de la gent féminine, poussant des cris stridents et permettant les différentes relations sexuelles perpétrant le grand cycle de la vie. A ce titre, un musicien ne se tapera que très rarement une musicienne sauf dans le cas où une famille recomposée, soit dans notre cas un nouveau groupe, viendrait à naître de cette union.
Alors en ce qui concerne les tenues vestimentaires, elles doivent être en adéquation avec le style de musique. On imagine mal un Vincent Delherme en blouson noir, lunettes de soleil et santiags en train de nous raconter comment son chien à encore pissé sur son couvre-lit Ikea. Le style également doit être défini et propre à l'artiste.
Si par malheur deux énergumènes se retrouvent à jouer le même style de musique dans une même soirée, l'affrontement à coup de larsen et de fausses notes peut foutre en l'air un spectacle.
Un musicien se doit d'être libre, sans attache. Fini le groupe de potes qui se fendent la gueule à écrire n'importe quoi et à faire des concerts juste pour la gloire les putes et la coke. Musicien c'est une carrière professionnelle, au même titre que le reste. On s'entoure des meilleurs et on cherche, sinon à abattre, au moins à diminuer les autres. Derrière les embrassades générales dont se repaissent les instigateurs de la musique populaire, les couteaux sont bien aiguisés et prêts à entrer en action.
Je vais en rester là de peur de quitter mon costume de clown pour enfiler celui du critique insatisfait qui participe à ce bordel. En attendant si vous croisez un musicien, ou pire que vous en connaissez un, ou que vous en êtes un vous-même, suicidez-vous jeunes, la gloire s'acquiert avec la mort.

mardi 3 novembre 2009

Carte d'identité

Aucune réponse donc nouvelle lettre.
Toi aussi expose tes problèmes quotidiens au Président de la République : http://elysee.fr/ecrire/.
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Monsieur le Président de la République française de souche. Voilà maintenant près de trois semaines que je vous ai fait parvenir un courrier par voie numérique sur le site http://elysee.fr/ecrire/ et je m’étonne de ne pas encore avoir reçu de réponse, même administrative, de la part de votre cabinet ou du moins la visite des services de la sécurité intérieure qui étaient, il me semble, en droit de m’embarquer pour trouble sur la voie publique depuis mon appartement.
Et… Rien… Pas même un petit mail en retour, l’indifférence. J’espère par la présente lettre remédier à cet oubli de la part de vos services qui, n’en doutons pas, reçoivent une quantité de lettres d’injures et de menaces propices à mettre de côté les délires d’un gamin de 26 ans profitant d’une grâce syntaxique et grammaticale pour s’en prendre à vous.
(Je précise à l’attention des barbouzes mettant à jour mon fichier sur la base de données EDWIGE2 que je suis, en plus d’être immigré de seconde génération, de gauche et jeune, abonné conjointement à fluide glacial et libération, et que je pratique volontiers certains rites sataniques incluant un poulet vivant et une photo de notre Président, avec un P aussi majuscule que le titulaire du poste est minuscule.)
Bref, j’ai mis du temps à répondre tout cela pour laisser l’activité médiatique se calmer et ne pas en rajouter une couche. Je n'ai en effet pas voulu vous accabler d’avantage concernant les « affaires » qui secouent, sauf là où c’est que c’est bon, la majorité. Je me permettrais donc d’occulter volontairement la fin ridicule et dallassienne du feuilleton qui avait pour premier rôle votre clône et qui aurait pu permettre de faire passer la pilule sur la réforme de la taxe professionnelle.
Et Boom, voilà-t-il pas que deux anciens premiers ministres, dont le meilleur d’entre vous présumé et le créateur de slogan pro-européen inintelligible dans la langue de Shakespeare, se permettent de critiquer cette réforme en termes irrévérencieux qui ne sauraient être acceptés par quelques monarques, même à talonnettes.
La manœuvre de communication est quand même bien foutue. Faire croire à la dissension au sein de vos rangs pour montrer que le travail parlementaire existe et, finalement, rassembler autour de votre projet en étouffant du même coup dans l’œuf une opposition déjà mal en point, voilà bien le meilleur moyen de maîtriser les voix du pour, du contre, de l’abstention et de la neutralité.
Mais comme je vous l’ai dit plus haut je n’en dirai rien.
Je voulais plutôt vous entretenir d’un sujet qui me touche particulièrement qui est le grand débat national sur l’identité à la con (ou l’inverse.) Non mais franchement c’est quoi ce boxon ? Il me semble que dès vos prises de fonctions, et ce en vue de satisfaire un électorat de droite nationaliste arraché à coup de slogan provocateur sur le thème de travail famille patrie, vous avez créé un ministère de l’éducation intérieure, euh… je veux dire, de l’immigration et de l’identité nationale qui est censé nous donner une définition plus que concrète de l’identité nationale (comme son nom l’indique.) Ne me faites pas croire que ce dernier ne fût créé que dans le but, fort charitable au demeurant, de renvoyer comme de vieux chiens des bougnoules sans papiers qui volent le pain à nos arabes (merci Michel) dans leur pays en guerre. Non ! Je ne peux l’imaginer.
Ainsi ce débat ne peut signifier que deux choses, soit vous tentez derechef de faire un clin d’œil coquin aux électeurs du borgne ou de sa valkyrie de gamine, en vue d’une prochaine échéance, soit vous ne savez vraiment plus ce qu’est être français.
La première hypothèse est démentie suffisamment par vos troupes pour que je ne m’y arrête pas.
La seconde en revanche me pose un problème de logique. En effet, quand vous avez créé le Haut commissariat à la Jeunesse, vous aviez bien dû en croiser quelque uns des jeunes, vous en aviez une définition bien précise du style :
« Jeune : adj. frange la plus parasitaire de la population. Humanoïde au langage incompréhensible et aux coutumes vestimentaires approximatives.
Jeunes Cons : vieux cons en devenir, d’après ces derniers, les premiers représentent l’écrasante majorité des jeunes. »
Alors pourquoi ce débat à part pour continuer à faire de la com. Franchement je vous sais bien trop malin pour tirer des ficelles aussi grosses. A moins que ce ne soit du second degré, mais cette fois, c’est l’intelligence de vos subordonnés que je remettrais en question.
Pour vous aider dans vos démarches de définition je vous donnerai la mienne :
« Français : Peuple fier et dépourvu de mémoire ne sachant pas reconnaître un ersatz de roi et qui en élit un comme président dès qu’il en a l’occasion (mis à part Jacques Chirac mort en 2007.) Troupeau de veaux suivant les dires de l’un de ces dirigeants, bande de cons suivant d’autres. Le Français se distingue par le fait que tout lui est acquis et qu’il a des leçons à donner à tout le monde sous prétexte qu’il a inventé les droits de l’homme et du citoyen il y a trois siècles et qu’il est infoutu de les faire appliquer dans son propre pays. Nation multiculturelle mais chacun de son côté ou alors uniquement entre caucasiens. Source inépuisable de Unes pour les journaux anglais. Source inépuisable d’emmerdements pour les Américains. »
Voilà mon cher Président de tous les Français et de toutes les Françaises, j’espère avoir pu vous éclairer sur ces quelques sujets.
J’attends votre réponse dans les délais les meilleurs.
Veuillez agréer mon plus sincère et plus profond mépris.

vendredi 23 octobre 2009

Jean Sarkozy effacé!!!!

Le lien : http://www.dailymotion.com/video/xaw5jl_jean-sarkozy-renonce-a-la-presidenc_news

Merde je pensais pas qu'il le ferait... effacer son fils.. comme ça tout simplement parce que le jeune fait un caprice.
Bref tout va bien dans le meilleur des mondes et ce n'est qu'une "coïncidence".

[EDIT] De mieux en mieux... la vidéo n'existe carrément plus.... je me demande pourquoi Europe 1 a enlevé cette vidéo de leur page.

jeudi 15 octobre 2009

Monsieur le président...

Je vous engage à faire de même. Il Veut notre avis, donnons-le lui!!!



Monsieur le Président de la République française, enfin je peux vous entretenir des nombreuses angoisses qui m'animent depuis votre sacre.

Hormis le fait que ne je sois pas de votre bord politique et que, en général je prends autant au sérieux les paroles politiques que les élucubrations de Bigard à propos du 11 septembre, je prétends être très attentif à votre discours. En effet, quand vous avez, et je dis vous pour signifier la politesse eu égard à votre rang mais également pour la flopée de trous de balle zélés reniflant votre sillage pour une miette de ministère ou un quignon de secrétariat d'état, bref, quand vous avez dis-je affirmé que nous allions travailler plus pour gagner plus j'étais tout ouïe.

Bon certes on ne va pas vous en vouloir d'avoir sorti cette phrase choc uniquement pour remporter des élections qui étaient il faut l'avouer bien préparées (pour ne pas dire... bien préparées).

Je suis jeune, j'ai 26 ans, je ne crois plus à la politique depuis la première fois où j'ai voté et où le mal, la petite flamme tricolore, le borgne pitbull des guignols, est passé au premier tour des élections présidentielles. Résignés, nous avons choisi le pourri de droite pour éviter d'avoir droit au fumier de l'extrême. Tout cela pour rien. J'ai appris par les journaux (car je ne regarde plus non plus la télé depuis que vous avez l'outrecuidance de nous imposer votre trogne méridionale matin midi et soir) que vous avez tendu la main à ce cher Philippe de Villiers, le fin de race de Vendée, le conspirationniste des mosquées secrètes enterrées sous les pavés de Paris. Allons, il ne peut s'agir que d'un gag. A quoi cela aurait-il servi que je vote Chirac sinon ?

Je vous fais grâce des quelques autres remarques à propos de vos origines qui me laissent perplexe quant à votre fascination pour tout ce qui ressemble de près ou de loin à des Fascistes.

Moi-même fils d'immigré, je me demande quand je croise un malien sans papiers si je dois appeler la police des frontières ou judiciaire.

Passons donc. Mais grand mal vous a pris de vouloir pousser le fiston trop vite et trop loin !!!! Encore une fois, trop rapide, trop soudain, ce jeune branleur des beaux quartiers n'a rien à faire dans le monde dangereux et sauvage qu'est la politique. D'accord il a des airs de vous en plus grand, plus beau, plus gentil et plus blond (bref il tient de sa mère.) Mais le coup du mini-moi c'est un peu abusé pour un premier mandat... Vous auriez pu attendre le second tout de même.

Voilà pour cette première lettre, un peu brouillon certes mais qui pourra peut-être vous prêter à sourire, et vous donner, je l'espère, à réfléchir.

Je vous laisse mes coordonnées afin de poursuivre cette correspondance.

Je me doute que le scribouillard décodeur de sarcasme et de cynisme qui aura en premier lieu la présente lettre entre les mains ne vous laissera certainement pas entrevoir ces lignes, mais qu'importe. Je tente ma chance comme des milliers d'autres.

mardi 6 octobre 2009

Droit de réponse.

Je crois que je deviens feinéant. Cf "Con se le dise..." février 08. Je vais prendre pour habitude de répondre à ces gens qui ont la critique facile. A vous de juger.
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Anonyme a dit…

A lire ces lignes, une citation me vient immédiatement à l'esprit : "La culture, c'est comme la confiture, moins on en a, plus on l'étale". Les mecs comme toi qui jouent les poètes maudits, c'est carrément pathétique... Apprend déjà à écrire sans fautes d'orthographe, avant d'essayer de nous éblouir par ton super style ampoulé de collégien mal dans sa peau.
PATHETIQUE je vous dis...

FX a dit…

Oua, ça c'est quelqu’un d'énervé...
Tu veux en parler, je t'ai fait de la peine, ferais-tu partie des pauvres bougres que je décris dans ce texte ?
Pour les fautes d'orthographe j'dis pas, même quand j'cause j'arrive à oublier les s du pluriel mais en ce qui concerne le "poète maudit", je pense que t'as tout faux. Je ne me sens pas maudit, bien au contraire je me trouve verni.
Et si je ne suis pathétique qu'aux yeux d'un justicier tellement courageux qu'il en oublie de mettre son nom, et bien soit, je préfère le rester.
Quant au collège ça fait un petit moment que je ne le côtoie plus, ce qui ne semble pas être ton cas vu la profondeur de tes arguments !
Une dernière chose. A tous les utilisateurs malveillants de l'orthographe française qui est une des plus chiantes et arbitraires au monde, je dis continuons à nous défendre du bon usage de la langue pour qu'enfin on puisse voir à travers les fautes et s'intéresser au contenu.


vendredi 4 septembre 2009

Enfin du neuf...

Avec du vieux. Pas de grand débat ou de grand gueule. Pas de vomissure ou de tête de turque. Pas de phrase délirocambolesque pour dire quelque chose de simple avec des mots compliqués.
Aujourd'hui sobriété sera le mot.
Je dois dire que cela fait un petit moment que je ne m'étais pas exprimer sur ce support et bien ça manque. C'est vrai que ces derniers temps mes activités pseudo-artistiques me prenait un temps fou. Mais heureusement pour moi il y a des gens qui prennent la parole sans qu'on leur demande et qui tente de vous ramener vers le droit chemin permettant à ma verve chancelante de continuer ces balbutiements syntaxiques.
Pour ceux qui n'ont pas compris, je parle de Esther qui, et je refermerais la parenthèse, non contente d"emprunté" une adresse Internet, n'est visiblement pas foutue de la réécrire correctement étant donné qu’il m'a été in possible d'entré en contact avec cette charmante personne.
Bref là j'ai pas forcément de sujet en particulier, pas forcément envie d'en foutre plein la gueule à tout le monde mais j'ai envie d'écrire. (et autre chose que des chansons ras le cul!!)
Alors voilà. Bon. Euh. Brocolis.
Ouais! Déjà vu vont encore me dire certain : " Le gars qui fait semblant d'hésité dans un texte et qui finit par écrire la première chose qui lui passe par la tête on connaît!!" Oui mais je ferais remarquer à ces personnes que si je ne les connais pas je les emmerde et que si je les connais ils auront remarqué que depuis le début de ce texte je n'ai pas encore une seule fois écrit le mot bite ou couille et que justement, au moment précis où j'aurais put le faire, j'ai préféré le mot brocolis qui, même si pour des végétariens allumés, est synonyme de puissant aphrodisiaque, on peut difficilement le mettre en relation avec un nichon, une verge, un con ou tout autre orifice. A moins bien sûr de déformer une expression comme par exemple :
"J'ai tellement niqué hier soir que j'ai la bite en chou-fleur" en "J'ai tellement fait l'amour (pas fou je suis maquer moi...) hier soir que j'ai la bite en brocolis" alors là oui, à ce moment là, brocolis prend tout de suite un sens beaucoup plus vicié. Mais bon c'est pousser le bouchon un peu loin comme dit mon oncle qui fait la circulation dans les alpes.


mardi 14 juillet 2009

Allons Ester....

Tiré du blog texte précédent premier commentaire.
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No comment? ;)
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Allons Fx, il ne faut pas se contenter de si peu. N'est-ce pas intéressant et tentant la différence? Bien sûr tu es un peu différent (il y a peu de chance par exemple pour qu'un autre ait disposé les même autocollants de la même façon sur sa guitare) mais tu peux faire plus. Parce que c'est sûrement chouette de se positionner à part du reste de la production.
Faire très nouveau n'est vraiment pas si facile mais tu ne fais aucun effort dans ce sens n'est ce pas? Tu accumules trop de clichés. Tu voit bien qu'elle existe la mode dans laquelle tu es exactement plongé? Vous êtes sûrement beaucoup trop à utiliser les même éléments d'un genre qui n'a plus rien d'original (je te passe la liste de ces éléments, tu la connais, tu pioche dedans pour toute sorte de choses).
Alors il y a aussi l'idée de faire mieux, peut être tu aimes le progrès, tu voudrais rendre ce genre (oh appelle le comme tu veux "chanson-manouche"? "chanson-qui-parle-des-gens-avec-casquette-à-courte-visière-et-tee-shirt-large"? ça n'est pas important) mieux encore, le pousser plus haut qu'on a pu déjà le faire. C'est une position que tu peux prendre, je pense que c'est mal parti mais après tout tu as bien le droit d'essayer. Pourtant je n'aime pas cette idée (et je me demande alors ce que toi tu en penses), j'aime mieux la différence. Il me semble qu'un domaine peut trop souvent stagner lorsqu'on ne veut que l'améliorer, que la tendance au progrès n'est pas toujours si intéressante et qu'il vaut peut être mieux avoir l'ambition de la différence, du personnel voire du nouveau.
Mon amis Frank me prête son adresse, frankhagiz@hotmail.com.

à plus.

FX a dit…

Bien alors pour commencer je serais ravi de discuter avec ton ami Frank qui a la gentillesse de te prêter son adresse. Pour ta gouverne, sache qu'en quelque clics tu es capable de créer une adresse sur le site qui herberge ce blog sans prétention mais on va y venir.
La prétention. Voilà le problème, tout ce qui fait penser de près ou de loin à des remarques ou des "conseils", dans le texte que je suis en train de lire à l'instant, partent du principe que ma prétention serais de révolutionner le monde la musique.
Eh bien sache ma chère Ester que cette prétention est belle et ben réel. Je me prend personnellement pour l'incarnation de Brassens et des Frères Jacques et compte bien dans les prochaines semaines prendre leur places au panthèon des artistes connus et reconnus. J'ai d'ailleurs l'intention de me laisser pousser la moustache pour que ça fasse plus "vrai" plus "nouveau" pour reprendre tes propres termes.
La nouveauté ça se commande pas ça vient en son temps. Et en chaque création il y a inspiration. Si tu es à même de me prouver le contraire je serais enchanté à l'idée de découvrir quelqu'un qui a créé à partir du néant. Tu pourrais alors servir au moins la cause scientifique qui cherche depuis pas loin d'un centaine d'années comment se foutu bing bang a put engendrer un tel bordel dans ma chambre (en passant par quelques étapes cruciales comme la création du temps des étoiles des planètes ect.).
Bref "la critique est aisée mais la création est vitale car dans toute création il y a un critique de la convention".
Je te laisse médité et vais arréter mes digressions ouiseuse pour reprendre ma petite place dans le monde immense de la musique en essayant tant bien que mal, avec ce que j'ai à dire et à chanter, je puisse te donner tords.
En attendant merci pour ces remarques.

FX.

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lundi 25 mai 2009

Bien commençont par les news fraîche....

Alors popur ceux qui suive pas démerdez vous ^^.
Pour commencer j'ai travaillez pendant quelques temps sur des compos et voilà ce que ca donne :
www.myspace.com/centideesfixes
La mise en page n'est encore faîte mais elle le sera bientôt. Voilà c'est ce que je fais le plus en ce moment pour me rendre compte que je négligeais complêtement le texte, l'écriture. Donc c'est parti.
Et merde la flemme c'est bien trop de boulot, trop de truc à dire à plein de gens. Et si je commence à aborder certains sujets, j'en connais certains qui vont le prendre pour eux.
En vérité, j'ai essayer de faire de l'humour mais la ya des situations qui font réfléchier euh réfléchir....
Ca c'est le verrou social à la création. Si une oeuvre heurte la sensibilité du plus grand nombre elle devient célèbre. Si elle heurte la sensibilité d'une minorité elle fait scandale. S'il s'agit d'une seule presonne et qu'elle est acompagné d'humour mal dosé.. elle peut brisé une amitié.
Bon je vais sortir de mon côté obscure. C'est juste pour se rendre compte que les verrous sont interressant. Le mien se met en place Hein guillaume... :p
bref quelques minutes avec notre premier auditeur, et nous reviendrons sur radio bierre noix de cajou, je ferais pas la dactilo et je suis un peu feinéant donc..
(Verrou)

Je suis mort et j'ai vu dieu....

Ca pépère si c'est pas de l'accroche.Qu'elle surprise après les quelques tribulation qui j'ai eu l'odace de vomir sur le net, (Celle que vous pouvez lire plus bas) de me voir porter la soutane. Et pourtant mes chère frère de sang, depuis que je suis au chômage, j'ai jamais picolé autant de vin et ben si (verrou.) Pour ceux qui arrive encore à suivre je tient à dire que ceci est de l'écriture improvisé, et vous y assistés en direct diféré des quelques seconde qu'il me faut pour rédiger ce texte. J'ai plein de truc à dire et pas assez de temps pour rédigé donc je vais vous balancer quelques vérités bien sentis et mal odorante car ma bile me ronge ^^ Fin de la phrase.
Pour ne pas mentir je vai poster un max de choses avec un minimum de relecture, pour voir combien de conneries je peux sortir en un mnimum de temps. Bref le verrou que vous avez put voir plus haut et le principe même du jeu. Dés que une phrase se trouve être trop longue c'est à dire au moment ou le fil de mes idées se perds dans un méandre de mots aussi impromptu que bite, par exemple et bien là (verrou.) et je passe à autre chose. Même si il faut avouer là il était pas forcément bien placé. Pour ceux qui ont gmail n'hésitez à me contacter (lahaineaveugle@gmail.com). bon ben prochain post dans quelques minutes.

jeudi 5 mars 2009

Pour ceux que ça interressent.

Une petite news, je serais normalement dans un festival à la fin Mars (le 28 exactement). Le problème est que je suis infoutu de me rappeler le nom du village ...Donc les futurs textes devront attendre d'autant que je suis en train de travailler sur des nouvelles compositions.
Pour l'instant rien d'autre.

*Edit :* Le festival se déroulera à Montastruc (31) le 28 mars. Viendez nombreux...

lundi 23 février 2009

Con se le dise...

Pour enfin avoir l'air intelligent j'ai pris la décision de m'entourer exclusivement de cons...
Que l'on me comprenne bien (et à l'attention des étudiants en lettre féru d'étymologie) quand je dis que je souhaites m'entourer de cons je ne parle bien évidemment pas de la partie la plus intime du sexe féminin, bien que la perspective de me retrouver encadré par une flopée de gonzesse à poil puisse être réjouissante.
Non je parle du con standard, comme tout le monde l'entend. Parenthèse faite, cette idée m'est venue alors que je discutais avec des gens dis cultivés issus de la classe moyenne ayant fait des études et sachant différencier un chinois d'un japonais. Et bien, outre le fait que suivre la conversation, qui gravitait autour des bonnes ou mauvaises décisions politiques...Pardon, autour des mauvaises décisions politiques de notre cher et estimé président (qui apparemment a eu la même idée que moi) me demandais un effort aussi bien au niveau du maintient de l'allure que des propos que je tenais. Etant donné mon inaptitude flagrante pour conserver cette posture j'aurai souhaité me soulager en lançant à l'attention de la pulpeuse créature qui avait engagé la conversation une bonne blague belge ou encore de disserter sur la taille imposante de ses nombreux seins..
Bref pour commencer mon expérience j'ai cherché quel était pour moi la définition du con standard et où je pourrais enfin m'en procurer. En effet, issu de la haute bourgeoisie je n'ai guerre eu le loisir de fréquenter autre monde que celui de l'aristocratie Briviste dont je me suis extraite pour gouter aux joies de la vie de bohème (mais avec un salaire de cadre faut pas non plus déconner).
Le con standard ne se reconnait pas forcément à l'odeur ou à la démarche. Dans le temps, c'est à dire à l'époque où les cons était facilement identifiable grâce à leur golf GTI ou encore à la mesure de leur QI, il était facile de les reconnaître. Or, le ringard d'aujourd'hui n'est plus le con d'antan, chacun pouvant constater que l'habit ne fait pas le moine, la golf ne fait pasti spécialement le bof.
Durant mes quelques années d'expériences et de contacts forcés avec la plèbe, j'ai put néanmoins constater certains exemples immuables : sil le con est un homme, insultez le foot, la bière ou les films porno, sa réaction parlera d'elle-même, s'il s'agit d'une conne, complimentez la sur ses chaussures ou regardez simplement dans le fond de ces yeux bovins en lui parlant de Engels, Goossens ou Tati et vous pourrez approcher le vide sidéral qui émane de sa pensée.
Si il est marseillais, il détestera Paris, s'il est Parisien il détestera tous le monde. S'il a une petite bite, il roulera en 4x4, s'il en a une grosse, en Porche.
Ces quelques conseils vous permettrons à coup sûr de vous entourer des plus beaux spécimens. De quoi passer de longues soirées d'hiver à disserter sur les exploits Staracqueux ou l'indigence de Bigard.
Ha.. j'en entends d'ors et déjà me dire : "Mais qu'est ce qu'on va se faire chier!!". Certes mais que voulez-vous, on ne peut pas tout avoir.

Arte.

L'ennui peut prendre des formes plus ou moins perverses et concrètes.
La première que j'ai rencontré se résume à une télé allumé et un bol de pipas.
A la télé, "Arte" ; dépourvus de télécommande, je ne peux me permettre de changer de chaîne qu'en cas d'extrême nécessité (genre besoin de vidange pressante ou remplissage du dit bol).
Bref, je choisis "Arte" pour être sûr que si j'aime, ça m'instruit et que si j'aime pas, la violence des dialogues ou de la musique ne risque pas de me sortir de ma torpeur dominicale.

lundi 9 février 2009

Vanish.


Je déchire le cellophane l'entourant, arrache d'un coup sec le papier argenté, tire avec mes dents le tube de papier et allume la première cigarette de la journée.
L'attente de la première bouffée de fumée lactée qui me rapellera celle que j'ai eu le malheur de prendre à l'age précoce de 12ans est vite dissipée. Les autres ne seront que mécaniques avec de temps en temps un coup d'oeil pour vérifier que le filtre n'est pas attaqué.
Les fumeurs comme moi se jouent de la mort pour mieux la connaître. Il sont souvent pressés de vivre pour ne pas se voir mourir.
Je recrache un nuage de vapeur d'eau, de monoxide de carbone et d'arsenic avec un rien de dégoût et un début d'étourdissement. Dernier coup d'oeil, dernière taffe. Je jette mon mégot rougoyant dans le Canal du Midi. Fin de la clope, fin de l'histoire, début d'une journée de merde.

mardi 3 février 2009

Rien dire au lieu de ne rien faire.


Pour ne pas tomber dans la désuétude de ma pensée, j'ai décidé, une fois n'est pas coutume, de changer de sujet. Et pour être sûr de mon coup, j'ai pris mon courage à deux mains, mon stylo à une, et mon whisky avec deux doigts de coca, me lancer dans le remplissage intempestif de ces quelques lignes en essayant de ne rien dire sur aucun sujet...

Périlleux exercice que celui-ci, et si par malheur je commence à déballer devant vous, en plus de ma bite, les différentes raisons pour lesquels ce thème est loin d'être aisé, je traite un sujet. Alors comment faire. A l'instar de Coluche qui asséna naguère ce constat déplorant que : " de tous ceux qui n'ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent", et bien personnellement je n'ai rien à dire et je veux qu'on le sache!!! Voilà qui est fait.

A présent dissertons sur le fait incongru qui dicte à bon nombre d'enfants bien élevés comme je le fus moi-même il y a longtemps (à l'époque où mes parents votaient encore à gauche et mes frères me servaient de punching ball quotidien me permettant de défouler une tension sexuelle oedipienne bien méritée) qu’il ne faut pas ouvrir sa gueule à moins d'avoir quelque chose à dire d'intéressant.

Je suis désolé mais le plus fameux des bides que j'ai eu la chance de vivre, la plus fausse des réponses données en cours auprès de mon radiateur, la plus merdique des blagues m'a bien plus servi que les nombreuses réussites que compte mon parcours scolaire. Bref toujours pas d'idée, je clos le débat en même temps que ma gueule.

vendredi 30 janvier 2009

La dépendance

Ca y est je re-découvre les joies d'un clavier....

Voilà quelques semaines que le mien a rendu l'âme sous un verre de vin mœlleux. Quelle belle mort!

Résultat je me suis retrouvé contrains de rédiger les quelques phrases issues de mes pensée hirsute sur un carnet, dont on m'a fait cadeaux, et dont je me sers pour en vanté l'étroitesse des pages (quelle belle mise en amibe).

Bref me revoilà en scène avec un clavier tout neuf qui me permettra de me lancer sur des sujets tous plus débiles les uns que les autres. Comme celui d'aujourd'hui. La dépendance, je ne parle pas des dépendances fortes que provoquent les drogues, légales ou non sur une personne en particulier.

En effet, on ne va pas jeter la pierre aux drogues de faire des drogués, ce serait comme reprocher à l'ENA de fournir des présidents à talonnette ou aux cons de présenter des émissions de télés. Non...Chaque chose à sa place et les moutons danseront quand Pierre et le loup iront s'enculer derrière un arbre.

Petite parenthèse poétique mise à part, la dépendance c'est vraiment emmerdant. Regarder-moi et dites moi que vous appréciez l'écriture manuelle... A part ceux dont c'est le métier évidemment...

Moi je ne peux vraiment plus me passer de clavier depuis l'évènement précédemment décris avec un brio qui m'étonne moi-même et qui sert de prétexte à ce déversoir d'immondices in culturelles pour lesquels j'ai autant d'idées que de dégoût.

Du coup je reprends ma prothèse, ça fait un bien fou, je pense que je vais embarquer un clavier pour pouvoir faire de même à la maison parce que ça commence à être dure de se forcer à écrire à la main.

La pire des dépendance que j'ai à affronter est celle que vous pouvez lire actuellement. L'écriture c'est une sacrée drogue dissimulée. Car finalement, je dis, ou fait dire ce que je veux à qui je veux. Et ça c'est un grand plaisir. Pour l'instant je n'ai pas encore pris mon courage à assez de mains pour me permettre de mettre dans la bouche de quelqu'un d'autres des propos que je tiens. Mais ça va venir j'en suis sûr. En attendant je termine ce petit texte de retour de maladie et tente de vous préparer le prochain pour ce Week End.

dimanche 18 janvier 2009

Ce qu'il leur faudrait...

Une petite compo :
C'est une bonne bonne guerre

Constat.


Pas un jour ne se passe sans que je ne sente l'inspiration s'enfuir. Je n'arrive plus à me concentrer plus de 15 minutes sur un sujet en particulier. L'observation de mes congénères ne m'a apporté que dégoût de raconter leur misérable existence ou du moins comment je me l'imagine. La désespérance que m'inspirent ces molles gouapes engoncées de suffisance matérielle qui les pousse à la sortie du dernier téléphone portable ou de disque de leurs idoles, à courir les magasins pour assouvir leur pulsion de consommateur imbécile ne fait que me plonger dans le plus profond désarroi.

Desproges vomissait la nature humaine trouvant ses contemporains plus merdeux que le dernier des porcs.

Pour ma part, je ne me sens pas le courage de surpasser ce mètre soixante dix de pure haine ordinaire mais je remplacerai volontiers certains de ses protagonistes d'hier par les connards d'aujourd'hui.

La seule chose qui pourrait être grisante dans la description des coutumes de ce nouveau siècle mort-né, serait de faire une comparaison avec le con d'hier, celui d'aujourd'hui et ceux de demain.

Le problème est que ce sujet a déjà été abordé avec un brio que je ne compte pas égaler.

Et comme je suis du genre à voir mon verre de ciguë à moitié vide je ne peux me complaire dans cet état. De plus le pseudo-succès des autres me rend malade et le désespoir de mes amis les plus proches m'indiffère de plus en plus.

Continuellement je me sens empli du malheur des autres ne trouvant même pas le repos, une fois leurs problèmes réglés, étant donné qu'il me reste les miens à affronter en retour.

Du coup je passe pour un râleur aux yeux de tous. Et bien soit, je vais râler, ouvrez les échauguettes, tout le monde va en prendre plein la gueule.

En direct différé de Montcornet Ardenne.


Bon je sais, on a vu plus original comme début. Comme on m'a souvent tancé pour être un "râleur", j'entame mon premier texte "mauvaise foi" afin d'éviter de décrire froidement ce qu'il se passe vraiment au moment je couche ces propos : j'ai faim, froid, sommeil, pas envie d'aller au travail et encore moins d'écrire.


Or en écrivant « Métro ligne lundi 17 novembre 08h05 » je laisse au lecteur le soin d'imaginer l'état d'esprit du rédacteur. Finalement la précision implacable aussi bien au niveau temporel que spatial de ce début de texte offre beaucoup plus de fantaisies que la description pure et simple des sentiments me traversant.


Métro ligne B lundi 17 novembre 08h13. Bon je sais j'écris pas vite, deux raisons

1* je n'arrive plus à m'affranchir de la prothèse scribouillarde que l'on nomme un clavier. Comme beaucoup de mes comptant pour rien j'ai horreur de l'écriture manuelle ; pour des raisons évidentes de lisibilité de mes propos couchés mais également de la douleur articulaire insupportable dès qu'il me faut tenir un tube en plastique empli d'encre synthétique et relier lignes, courbes et déliés à la vitesse de l'éclair.

2* le format de ce carnet, support de mes vomitoires syntaxique, ne permet pas à mes grandes paluche de guitariste de s'exprimer avec toute l'énergie dont elles disposent. Pire à chaque fois que je change de pages,(ce qui arrive fréquemment vus l'étroitesse du dis carnet) je me sens obligé de recommencer autre chose. L'angoisse de la page blanche sans doute.


Métro ligne B Lundi 17 Novembre 08h20.

Ca y est, je vais arriver au boulot et je n'ai réussi qu'à disserter sur le début de cette histoire et il ne me reste qu'une station de métro pour y mettre un terme. A moins qu'elle ne reste en suspend jusqu'à l'apposition du mot fin en bas cette page.