Maintenant sur youtube et dailymotion.

mercredi 24 décembre 2014

Défaite de fin d'âne né.

Bonsoir à tous.
Critiquons, moquons-nous, des riches, des puissants, mais n'oublions jamais que la haine aveugle n'est pas sourde.
On ne m'aura pas souvent pris en défaut de détestation profonde pour une idée particulière. Celle de Noël, de la nativité, de Hanoukka ou de tout ce qui se rapproche de près ou de loin à la célébration du solstice d'hiver et de l'an nouveau, parvient à réunir en une période incroyablement courte tout ce qui me révulse dans l'expression la plus pure de la débilité humaine.
Passe encore sur les réjouissances liées à la prétendue naissance du rejeton de Jéhovah qui ne se trouve le 24 décembre que pour coïncider avec la fête de la châtaigne, des marrons ou n'importe quelle autre connerie animiste que ces crétins de païens ne s'arrêtaient pas de vénérer chaque année et ce malgré les massacres de leurs semblables dont les entrailles décoraient les pinèdes sous le joug joug de la sainte église.
Si l'on considère que l'immenculé conception s'est déroulée aux alentours du 8, ou bien les évêques ont perdu le goût du sang et ont abdiqué pour mieux faire entrer dans le crâne de ces dégénérés qu'en lieu et place de leurs idoles hérétiques ils festoyaient depuis des millénaires la venue de leur sauveur, ou bien le petit Jésus est soit un éléphant soit un fœtus avorté pour coller avec le temps de gestation de la Marie.
Ce qui m'horripile au plus haut point dans ce fanatisme hivernal, c'est bel et bien la pire des messes qui soit et ayant pour seul objectif avéré de vous inciter à consommer pour le bon vouloir d'un vieil obèse exploiteur d’elfes et repeint par Coca Cola.
L'icône du Père Noël, obligeant des milliers de familles à s'écharper autour d'un repas hors de prix et assurant le chiffre d'affaires mirobolant de gastro-entérologues peu scrupuleux, justifie à lui seul et selon moi la révolution tant attendue par ceux que les huitres révulsent, qui exècrent les dindes et les marrons chauds.
Toujours est-il qu'en ce qui me consterne, mais ça n'enrage que moi, cette année je ne vous souhaiterais pas de bonnes fêtes et une heureuse année et je vous prierais de me laisser en dehors de ces réjouissances qui ne concernent vraiment que ceux qui jouissent déjà tout au long de l'année.
En revanche je n'aurais aucun mal à vous souhaiter un joyeux bordel et une très bonne armée et vous invite à prendre de bonnes révolutions en cette nouvelle année de chienlit qui s'annonce!
A bon électeur, salut.

mercredi 10 décembre 2014

Le gentil rôle de Jean Tirole.

Bonsoir à tous
Critiquons, moquons-nous des riches des puissants des cons et mal baisant mais n’oublions jamais, que la haine aveugle n’est pas sourde.
Aujourd’hui pour nos auditeurs, et demain pour vous qui m’écoutez lascivement en direct, est un jour à marquer d’une pierre rose dans l’histoire de la ville de la même couleur. Le prix Nobel d’économie va être délivré à un certain Jean Tirole, professeur d’économie de la prestigieuse Toulouse School of Economics en occitan dans le texte, qui, non content d’être affubler d’un patronyme fleurant bon les chants des alpages suisses, invite les pue-la-sueur et les sans-dents à ne pas s’acharner sur ceux qui y construisent leurs chalets et y planquent leur pognon.
Dans une entrevue avec le brûlot anti-capitaliste Challanges, le bon Jean nous dispense ses conseils santé économiques afin de nous apprendre à nous décoincer la rondelle pour mieux laisser le train des réformes à venir s’y engouffrer sans encombre ni trop d'emmerdements.
A l’appui de son rapport vieux de dix ans sur l’état du marché du travail français qui lui vaut notamment son nouveau titre ronflant pour la postérité et les bonnes grâces des enculeurs de mouches qui n’osent pas nous traiter en face de fainéants ou de rebuts de l’économie, il nous y dépeint le français moyen comme manquant de culture économique et inamovible face à ce qu’il qualifie de fléau national.
Rendez-vous compte, par manque de discernement et de jugeote, ces crétins de veaux se focaliseraient sur les pauvres connards identifiables risquant un licenciement collectifs sans se soucier des centaines de milliers d’autres fumistes déjà au chômedu victimes du système.
Hé ducon, pardon, monsieur Ducon, pourquoi tu crois qu’ils ont peur de perdre leur boulot si ce n’est parce qu’ils ont pleinement conscience qu’ils n’en retrouveront pas un de si tôt!
Mais ne vous inquiétez pas, le bon Nobel ne fait pas que vous traiter d'ignares et d’antipathiques, il sait aussi être compatissant envers les entrepreneurs qui, les pauvres, ont peur de créer des CDI car ils savent quelle difficulté ils auront à dégager à coup de pompe dans le cul le salarié rendu improductif par un changement de technologie ou une baisse du carnet de commande. Il n’est que miséricorde et commisération pour ,
 et là je cite parce que c’est à peine croyable tellement c’est con, “le mal-être de nombreux salariés protégés par le CDI, mais incapables de changer d’entreprise, et très inquiets pour leur avenir et celui de leurs enfants.”
Toujours est-il qu’en ce qui me consterne, mais ça n’enrage que moi, si d’aventure je croise ce spécialiste de la théorie des jeux appliquée à l’économie industrielle, je lui proposerais volontiers une petite partie de roulette russe à six balles dans le barillet à condition que ce soit lui qui commence pour qu’il puisse enfin vérifier avec les mêmes chances qu’un ouvrier d’usine ses hypothèses foireuses sur le marché du travail.
A bon électeur salut!
Lu à www.pasplushaut.com

jeudi 27 novembre 2014

Chameau coeur. Lychien, mon cul!

Bonjour à tous.
Critiquons, moquons-nous, des riches, des puissants, des cons et mal baisant, mais n'oublions jamais que la haine aveugle n'est pas sourde.
Voilà près de sept mois que j'ai déserté ces colonnes. Ayant eu la désagréable sensation d'avoir dis à peu près n'importe quoi sur n'importe quel sujet, je préféra disparaitre, sans adieux ni larmes déchirantes et au summum de mon art, pour vous épargnez la douleur de notre séparation pourtant inéluctable.
Et si je décide aujourd'hui d'extraire ma plume assassine de son écrin banal, duquel elle me chatouillait pourtant régulièrement à l'endroit même où le pro se tâte quand le doute l'habite, ce n'est certainement pas du fait des centaines de messages électroniques paniqués questionnant mon mutisme, que je n'ai d'ailleurs jamais reçu par la faute, à n'en pas douter, d'un facteur automatique défectueux et jaloux de mon succès.
Ce n'est pas non plus parce qu'il se passerait quoi que se soit d'original ou de particulièrement choquant dans les différentes arènes politiques de quinquennat ci.
Oh certes, j'aurais pu ironiser sur le retour de Hollande à Florange car il en faut une sacrée paire en acier trempé pour oser s'aventurer chez les métalleux afin de leur annoncer qu'il y a finalement eu du bon à la fermeture de leur usine. Preuve en est, jamais les carnets de commandes de l'ami Mittal ne se sont aussi bien portés.
Si j'avais été taquin, j'aurais félicité les policiers étasuniens qui, à la veille du procès de leur collègue pour avoir descendu un noir pour une fois innocent, ont exécuté un gamin jouant au malfrat avec une réplique en plastique de Smith et Wesson. J'aurai pu ainsi les remercier de nous faire relativiser la connerie pourtant supposée insondable de nos CRS à nous.
Enfin, j'aurai pu me délecter de voir Juppé avec une tronche encore plus crispée qu'à l'accoutumée, ce qui doit constituer un exploit en soi tant le nombre de balais dans le cul qu'il héberge pourrait faire pâlir de jalousie Mickey Mouise jouant les apprentis sort-chié, et me foutre magistralement de la gueule du teigneux à talonnette usant de stratagème digne d'un caïd de bac à sable ridiculisant un cama raide pour avoir souiller sa couche d'urine fraîchement produite afin de faire docilement oublier que la sienne déborde depuis le matin même d'une abondante colique à grumeaux.
Oui j'aurais pu vous ravir de sarcasmes et d'anathèmes sanglants sur l'incompétence des politiques, les manipulations des religions, les mensonges de la presse ou encore la profonde et incommensurable saloperie que représentent les réactionnaires de tout poil, si ces simples notions n'étaient pas d'ors et déjà des pléonasmes grossiers.
Mais alors, vous offusqueriez-vous fort à propos, de quoi ce connard prétentieux qui s'écoute écrire voulez-t-il bien se moquer après nous avoir décris par le menu ce dont il ne se moquera pas à la carte?
Et bien- au risque de vous surprendre, j'ai prévu de me rire de vous, car vous êtes ridicules. Toute misanthropie mise à part, sachez que ce qui me fait narrer chez vous c'est votre don de vous incommodez des dirigeants que vous avez élu, ou pire, que vous avez laissé élire, par manque de courage ou par flemme intellectuelle.
Ce qui me titille les nerfs jubilateurs, c'est de vous imaginer penser que tout le monde croit pour mieux vous autoriser à ne rien comprendre.
J'avoue que mes sphincters font bien souvent défaut sitôt que je vous entend défendre la démocratie à l'aulne de l'état, envisager une révolution en attrapant le système par les urnes ou prétendre que l'incrémentation du chiffre précédant la chose publique puisse à elle seule être une solution pérenne de société égalitaire.
J'ai la désopilante aiguë chaque fois que l'un de vous se justifie de ne rien faire d'autre que de balancer des poncifs de soixante-huitard sur le retour en vous parant de la sacrosainte non-violence quand celle, légitime ou non, massacre parmi vos rang.
Je pouffe à l'idée vous puissiez une seule seconde prendre au sérieux ces éructations qui n'ont aucune autre visée que de vous faire réagir et qu'un de ces soirs peut-être puisse devenir Le Grand.
A bon électeurs, salut!

jeudi 22 mai 2014

Démocratie bien ordonnée commence par soi-même.

Bonjour à tous.
Alors comme ça la démocratie serait en danger? D’après les experts de tout bord, elle serait menacée par d’ignobles comploteurs qui préparerait dans l’ombre d’abjects plans machiavéliques pour la faire vaciller et la faire plonger dans le chaos le plus total.
Au risque de décevoir les plus pathétiques adeptes de la conspiration judéo-massonique ta mère Patrie, ni les élites délitée délictueuses, ni les tocards toqués de tel ou tel talmud ne serait les tristes instigateurs de la chute des régimes totaly tarte.
À l’instant où je m’apprête à désigner les responsables de ce marasme, un frisson d’effroi me parcours depuis les pieds jusqu’à l’échine tant ces monstres semblent omnipotent par leur absence… Je veux bien entendu parler des abstentionnistes!
L’abstentionniste est un être sans moral ni bulletin de vote. Il délaisse sans vergogne les isoloirs pour satisfaire ses besoins primaires de barbecue ou de pêche à la ligne. Il ne connaît aucune limite dans son indifférence! 
Qu’un aveugle tente désespérément de traverser une rue et le voilà qui se plante à ses côtés sans mot dire pour mieux se délecter de voir le malheureux se frayer un chemin entre les 35 tonnes véloces à l’aide de sa canne blanche et de son labrador tétanisé de frayeur.
Plutôt que de s’interposer entre une poussette dévalant une pente et le précipice qui stoppera net les hurlements déchirant du poupon, il laissera ce dernier vérifier douloureusement que la loi de la pesanteur est aussi dure que les rochers qui lui fracasseront son crâne encore malléable.
Bien sûr, certains d’entre vous, mièvres et pétris de compassion républicaine, accuserons les politiques d’avoir abandonner le peuple. Vous blâmerez ceux qui font les institutions de s’être enfermées au point de préférer coopter l’un de leur adversaire plutôt que laisser la chance à un élu des masses de se hisser à leur niveau. Vous oserez faire remarquer qu’entre un vote nul, blanc et une abstention, la différence est mince et que pourtant, par l’extraordinaire magie d’une urne translucide, les deux premiers deviennent acceptables voir contestataires alors que la dernière est innommable. Vous essayerez à n’en pas douter d’user d’arguments fallacieux visant à discréditer les honnêtes citoyens qui remplissent leur devoir en pensant à leur pomme et à encenser les terroristes qui préfèrent emmerder le monde avec leurs revendications plutôt que de choisir parmi ceux qui peuvent faire quelque chose pour le bien commun!
À ces pourvoyeurs d’excuses merdiques et autres défenseurs de l’idéologie néo-nazi-libertaire je préconise la même sentence que pour ceux qui renoncent à la démocratie de masse pour nous imposer par leur silence un autre système de représentation qu’ils se hasardent à qualifier de “juste” : 
Un bisous sur le nez et un bon coup de pied au cul!
Car je persiste à penser qu’un connard qui ne vote pas est moins dangeureux qu’un autre qui vote FN.
À bon électeur, salut!

mercredi 23 avril 2014

Le Chronicoeur Haineux à Maison Blanche (PPHQLB)

Salut à vous!

Cette émission est un peu particulière car, non content de filmer et chroniquer, je suis également au son ;)
Le texte, comme toujours, est en dessous.
Bref, bon visionnage et à bon électeur, salut!
******
Bonsoir à tous.
Gottferdom que la vie est belle et l’essence est chère, vive la crise et l’alsacienne mienne.
En ce dimanche pluvieux de mars, je me sentais las, dégoutté, démuni, si pâle qu’on aurait dit un vote blanc. Comme toujours, j’ai tourné autour du pot pendant des heures pour savoir si j’allais moi aussi glisser mon petit bout d’expression dans la fente idoine afin d’assouvir ce besoin quasiment charnelle de connaître bibliquement ma chère démocratie.

mercredi 16 avril 2014

Le Chronicoeur Haineux au Breughel (PPHQLB)

Salut à tous!

Comme toujours, je vous propose le texte original, uniquement ici!
Alors pour le son, je suis au courant mais pas moyen de le récupérer car le zoom récupérant le son de la table de mixage a déconné pendant la première partie de l'émission.
Bref, bon visionnage et à bon électeur, salut!
******
Bonjour à tous.
By jove que la vie est belle et l’essence est chère, vive la crise et l’alsacienne mienne.
attendez… 
Rha… excusez-moi mais à chaque fois c’est pareil!
Dés que bourgeonne sur les panneaux municipaux les affiches annonçant l’avènement imminent d’élections quelconques, je commence à faire une réaction a…haaaa…
(éternue)
alergique.

lundi 14 avril 2014

Partitions du Brûlot des Bas-fonds : L'écho reste là.

L'écho reste là, c'est d'une balade en bi-nerf, sur une mélodie construite en détente trop mouvante.
Bref, c'est libre, ouvert, et gratuit.
http://www.deliriumordinaire.com/centideesfixes/songbook/Lechorestela.pdf
Bonne reprise et à bon électeur, salut!

lundi 7 avril 2014

Partitions du Brûlot des bas-fonds : Excellent drain.


La suite du song book "open source" de Cent Idées Fixes est disponible et téléchargeable ici :
http://www.deliriumordinaire.com/centideesfixes/songbook/Excellentdrain.pdf.
Cette petite valse simple, écrite à la guitare, réarrangée pour piano et accordéon, devrait vous faire oublier celle des ministères à condition de la jouer forte!
Bonne écoute, bonne reprise et à bon électeur, salut!

jeudi 3 avril 2014

Courrier du lecteur et de l’auditeur du Chroniqueur Haineux

Cher Jean-Luc Compte tenu du tournant que prend la politique française actuelle, nous avons décidé, et donc constaté, que le mot « GAUCHE » n’est plus rassembleur ni porteur de sens. Je m’explique : le mot GAUCHE agit comme une craie sur le tableau noir, il a le don de soulever les poils même les mieux cachés. Agissant comme un stimulus pavlovien, GAUCHE hérisse avant que son sens n’arrive au cerveau, ce qui, il faut bien le dire, est un exploit scientifique en si peu de générations. Il me semble que 3,5 générations sont bien peu pour une réussite aussi évidente sur la transformation de l’ADN. Les laborantins du socialisme ont bien travaillé. Je constate l’évidence mais ne m’avoue pas vaincue. Le mot a, en outre, perdu toute connotation sociale, de solidarité ou d’écologie. Nous avons donc décidé, mon Cher et moi, de créer un nouveau parti, portant l’heureux nom de « Front de l’Égalité Sociale Solidaire et Écologique ». Je tiens à préciser, cher Jean-Luc, que notre intime conviction au vu de nos actions futures est : ceux qui n’adhèrent pas au parti FESSE l’auront dans le cul. Avec mes salutations bien sûr distinguées La baronne de la Tête en Gelée (et mon cher Marquis Jean de Pied de Porc)

mardi 25 mars 2014

Partitions du Brûlot des bas-fonds : Repas de famille.


Voici les partitions de notre second morceau "Open Source"!
Il s'intitule Repas de famille et ses partitions sont téléchargeables ici :
http://www.deliriumordinaire.com/centideesfixes/songbook/Repasdefamille.pdf.
Pour le son, il est téléchargeable sur notre soundcloud.
Bonne écoute, bonne reprise et à bon électeur, salut!

lundi 17 mars 2014

Partitions du Brûlot des bas-fonds - Tchou tchou.

Salut à tous.
Avec  mon cher camarade Simon, nous avons choisi de mettre à disposition les partitions de notre dernier album. Pourquoi? Parce que nous estimons que la musique libre ne se traduit pas que par une écoute et un téléchargement gratuit mais également par la possibilité pour tous de jouer les morceaux comme on le souhaite.
C'est pourquoi chaque semaine, nous mettrons en ligne sur le site du groupe, la page facebook et sur le présent blog, les partitions d'un morceau de l'album.
Cette semaine donc "Tchou Tchou", morceau swing manouche décalé que vous pouvez télécharger sur le soundcloud du groupe.
La grille et les paroles sont disponibles sur http://www.deliriumordinaire.com/centideesfixes/songbook/Tchoutchou.pdf
Bien sûr nous vous invitons à partager, reprendre et enregistrer votre propre version de nos morceaux!
A bon électeur, salut!

mercredi 12 mars 2014

Le Chronicoeur Haineux à La Chapelle de Toulouse (PPHQLB)

Salut à vous!


Le Chronicoeur Haineux a donné de sa personne lors de l'émission de Pas Plus Haut à la Chapelle le 17 Février dernier. Comme toujours, et spécialement pour vous, le texte de la dite chronique pour suivre en direct différé ce petit bout d'acide sur la morale Dieu et le Capital.
Bon visionnage/lecture!

mardi 11 février 2014

Cent Idées Fixes à Pas plus haut que le bord.

Oh la belle collusion d'intérêts que voilà :D

Voici les vidéos du groupe enregistrées à l'occasion de l'émission Pas Plus Haut Que Le Bord au Bistrologue le 22 janvier dernier.
Vous pouvez retrouver le reste de l'émission sur la chaîne Youtube de Pas Plus Haut.
La prochaine émission se fera à La Chapelle le 17 Février, à partir de 20h!

lundi 10 février 2014

Carton rouge pour le libre arbitre.

Bonjour à tous.

Comme tous les gens beaux, riches et intelligents, j’ai l’impression de faire ce que je veux, comme je le souhaite, avec qui m’arrange pourvu que cela me sied. Cette possibilité m’est octroyée par ma naissance dans une société qui m’assure qu’elle fera tout pour que je demeure libre et égal à cet autre tout aussi beau, riche et intelligent que moi. La liberté est. C’est inconditionnel.

Le Brûlot des bas-fonds #10 : Palabre en vrac.

Salut à toi qui te délecte de cette série.

Nous approchons de la fin des extraits avec le dixième d'entre eux que constitue Palabres en vrac.
Pour la distribution on trouvera Simon Barbe à l'accordéon et Vincent Viton à la flute traversière.
Quand nous aurons terminer de vous proposer les chansons en écoute, nous vous offrirons la possibilité de la télécharger gratuitement sur le soundcloud et sur le site du groupe.
Mais ce n'est pas tout!

mercredi 5 février 2014

Pas Plus Haut Que le Bord au Bistrot l'Escale de Tournefeuille durant Marionnettissimo.

Salut à vous!


Cette semaine je rattrape mon retard sur le montage des chroniques de Pas Plus Haut. Du coup attendez vous à avoir une nouvelle émission dans la semaine voir peut-être deux.
Pour ce qui est de mes chroniques, je pense que je vais faire une petite pause du au travail conséquent que représente l'ensemble de mes projets mais je reviendrais peut-être dans l'émission lors de hapenning ou avec d'autres personnages de ma création.
En attendant, bon visionnage et comme toujours, à bons électeurs, salut!

lundi 3 février 2014

Le Brûlot des bas-fonds #8 et #9 : L'Écho reste là et Excellent drain.

Salut à vous les croqueurs de sons!
Les deux derniers extraits de l'album sont en ligne.
Sur le premier, l'Écho reste là, on retrouve Vincent Viton à la flute traversière et Simon Barbe à l'accordéon. Pour le second, Excellent drain, c'est un pianiste, Alexandre Barré (Place des arts, La Gaudriole, Kassla Datcha), qui m'accompagne.

Sinon pour les news fraîches, nous avons joué avec Simon la première du nouveau spectacle mercredi dernier au café associatif Chez Ta Mère. L'ambiance était bonne et le spectacle sans (trop) de cafouillages.


mardi 21 janvier 2014

Lavaur te ment!

Bonjour à tous.

"Il était une fois une princesse si belle que tous les prétendants du royaume tombaient en pâmoison devant sa majestueuse allure."

Après avoir passé des mois à nous emmerder avec la manif pour tous, voilà-t-y pas que les bigots et les réactionnaires se sont une nouvelle fois illustrés Dimanche dernier pour manifester aux couleurs de l'Espagne contre le droit à l'avortement.

lundi 20 janvier 2014

Le Brûlot des bas-fonds #7 : Calypso.

Salut à vous ô flibustiers de la musique libre de droits et devoirs!
Le 7ème extrait du Brûlot est sur notre souncloud!
Au gouvernail de ce rock acoustique qui sent bon la marée on retrouve Alban Cointe à la batterie (Place des arts, Gabriel Saglio et les vieilles pies), Nicolas Oustakine à la basse (Zynga Trio) et Slim Paul au dobro (Weep 'n moan, Scarecrow).
Je fais court car nous avons beaucoup de travail pour préparer le spectacle du 29 Janvier Chez Ta Mère.
Donc je vous souhaite une bonne écoute et comme toujours, à bons électeurs, salut!

dimanche 19 janvier 2014

Déclics et des claques (dans la gueule).

Bonjour à tous.

Vous le sentez le petit vent nauséabond qui s'engouffre dans les plis de notre ventripotente démocratie?
Non?

vendredi 17 janvier 2014

Le Chonicoeur Haineux à Pas plus haut que le bord au Bistrologue.




J'en avais promis deux cette semaine mais alors, c'était juste pas possible.
Donc voici la dernière chronique montée avec un nouveau générique réalisé sous After Effect. Comme c'était la première fois que je l'utilisais j'attends vos retours avec impatience!

lundi 13 janvier 2014

Le Brûlot des bas-fonds #6 : Lettre de l'autre.

Bienvenue à toi qui vient ici chercher les dernières nouvelles d'une production libre et toulousaine.
Ha mes amis quel pied!
Hormis un sixième extrait que j'ai le plaisir de vous présenter et qui s'intitule Lettre de l'autre, plein de bonnes choses vont arriver dans les prochaines semaines! Mais j'en parlerais après vous avoir fait le détail des musiciens qui ont participé à ce morceau et ils sont pléthore!
On retrouvera l'extravagant, le magnifique et l'omnipotent Simon Barbe comme toujours au piano à bretelles  (Les Bombes 2 balPlace des artsLes Vents malinsLa Gaudriole), Nicolas Oustiakine (Zynga Trio) envers et contrebasse, Tom Turtle au cajon (Weep 'n moanPurplized) et en back on retrouve Slim Paul (Weep 'n moanScarecrow) et Vincent Viton.

samedi 11 janvier 2014

Le Brûlot des bas-fonds #4 et #5 : Peut-être France et Recette du Capital.

Salut à toi, ô navigateur internet échoué sur ce blog acide et sans concessions.
Oui j'ai un peu de retard alors je me rattrape comme je peux...
Au sommaire une petit valse malsaine et une recette en 6/8 pour fabriquer le Capital... HUMMM j'en ai l'eau à la bouche.
Dans ce numéro du Brûlot des bas-fonds on retrouvera Simon Barbe à l'accordéon (oui je sais encore, il est vraiment -presque- partout, la preuve : Les Bombes 2 bal, Place des arts, Les Vents malins, La Gaudriole) et Monsieur Baptiste Plume au chant (Sale Pierrot, Pas Plus Haut que le Bord et Rêves de Comptoir) sur le morceau Peut-être France. Et pour la recette, toujours le même accordéoniste fou aux manettes, Raphaël-Tristan Jouaville au violon (Les Cordes Timbrés, Purplized) et Tom Turtle au cajon (Weep 'n moan, Purplized).