Maintenant sur youtube et dailymotion.

mercredi 23 septembre 2015

Basses cultures des hautes écoles.

Bonjour à tous.
Critiquons, moquons-nous, des riches, des puissants, des cons et mal baisants mais n'oublions jamais que la haine aveugle n'est pas sourde.
De toutes les traditions saugrenues et incongrues dont enorgueillissent les chauvins de la pire espèce qui me font tourner en bourrique, de toutes les manifestations grasses de la culture abusivement qualifiée de populaire par leurs défenseurs comme rempart ultime aux censeurs de grivoiserie, de tous les événements glorifiés par leurs participants comme immuables et indissociables d'un franc esprit de corps gaulois propre à définir les dignes héritiers d'Astérix, les chants à boire des neuneux à mention baccalauréenne sont vraisemblablement se qui se fait de plus bas dans les domaines de l'art porcin comme des poubelles lettres. Véritables aveux de boffitude chez les jeunes biens mis, ils égalent sans encombres, ou dépassent sans vergognes, les plus vulgaires rôts convulsifs de Lagaffe dans sa période rap, ou, pour citer une référence un peu plus d'actualité, des plus odorantes perles radiophoniques du pétomane Cauet.
Raciste juste ce qu'il faut, machistes sans équivoques, le fleuron des écoles de commerce et d'ingénieurs rivalisent de performances littéraires et poétiques aussi remarquables que de faire rimer fesse avec baise ou bite avec gigabit, quand il s'agit évidemment d'étudiant en informatique. Le tout est orchestré avec un brio, fort heureusement, inégalable, en chorales beuglées à tue-tête par cinquante ou cent casseroles étripée, et dont les mélodies, le plus souvent calquées sur des marches militaires, feraient s’éclater les tympans de désespoir le premier légionnaire venu.
Mais si seulement l'insulte n'était qu'auditive ou visuelle! C'est qu'en sus de nous briser les oreilles, le sens du rythme et de l'harmonie, cette bande de soudards se ruinent sans classe à coup de mètre de ricard chez Tonton et urinent la lune au clair, et la chibre à l'air, les rivières d’excréments qui font le bonheur des moustiques et des platanes.
Et quand on les interroges, les connards, voilà que les fils de d’huissiers, de médecins et autres notables se défendent de toute vulgarité en prétextant de ne faire que perpétuer une tradition populaire séculaire sensée introniser les nouveaux venus aux us et coutumes de l'élite auto-désignée de la nation.
Populaire mon cul! Ce risible amas de viande saoule légitimerait leur comportement de cloporte par quelques références religieuses si l'église était encore en odeur de sainteté. Et en guise de chansons à boire et de bibines synthétiques, la progéniture du gotha nous réciterait des cantiques et se signerait le fond de la glotte au vin de messe.
C'est qu'il doit être grisant de débarquer comme une bande de chien en rut pour vider les futs de bières et le pastaga bon marché, que des vendeurs de cirrhose peu scrupuleux, mais malins, mettent deux fois l'an à la disposition de ces populaciers d'un soir.
Le pire est que les mêmes, quelques mois plus tard, viendront se plaindre de leurs voisins trop bruyants à leur goût alors qu'eux, les supers, les héros, se doivent de réviser leurs partiels partiaux et que leur patience passive sous leur patio spécial n'est certes pas science spatiale mais qu'ils exigent possible d'être paisible! Et quand viendra pour eux le temps et les moyens d'installer leur cabinet d'expert en expertise de les centre des grandes villes, ils honniront cette jeunesse bruyante et pestilentielle qui affectent leur quiétude et dénature leur belle citée.
Toujours est-il qu'en ce qui me consterne, mais ça n'enrage que moi, pour fêter dignement cette rentrée j'invite tout ceux qui n'ont pas eu l'insigne honneur de faire partie de la sélection miss et mister haute écoles 2015-2016, de laisser libre court à une saine vendetta en multipliant les soirées murges sous les fenêtres de l'INSA, à déposer régulièrement des galettes sur le péron de la Toulouse Business School, à gueuler l'international, le chant des partisans, ou tout autre hymne révolutionnaire dans les rues et les quartiers hébergeant les écoles prépas pour apprendre une bonne fois aux bourgeois et à leur engeance comment le peuple fait la fête le soir de la révolution!
À bon électeur, salut!

jeudi 17 septembre 2015

En goguette #9 : Le blingbling démocratique.

Bonjour à tous!

Cette goguette sur l'air du Pudding à l'arsenic, composé par Gérard Calvi pour le film d'animation Astérix et Cléopâtre, célèbre l'élection de Malcom Turnbull au poste de Premier Ministre Australien, le démarrage de la campagne de Donald Trump aux E.U., la victoire de David Cameron en  Angleterre et le futur retour de Nicolas Sarkosy en notre belle province de France!
Chers camarades, je vous offre "Le Blingbling démocratique" :
Orfèvrerie de la cité :
La gourmette Sofitel ?
Moui
Le Macron flamboyant ?
Pas mal
Un Trump de diamant?
Classique
Emir aux pierres rares?
Boof
Haaaa Le blingbling démocratique
Oh ouiiii

De la russie de Poutine
Se fondre à pied par la Chine
Achetez des actions frivoles
Et un petit puits d’pétrole

Ho Ho je vais en prendre deux

Flanquez d’paroles ambiguës
Sur le trop d’impôt perçu
Les budgets qu’on coupe sans fin
Augmentez l’revenu moyen
Noooon !
Ah bon

Polissez l’espace publique
Taillez les aides c’est tactique
Une rolex en pendentif
Que vous paierez plein tarif
Ho ho je vais en mettre trois

Enchâssez le peuple à part
Baguez-les dés qu’ils sont noirs
Faîtes aussi parler la poudre
Et l’assemblée à dissoudre
NOOON!
Ah bon

Dorez votre quinquénat
Décorez quelques soldats
Et si le faste dérange
Gardez les emplois d’Florange
Ho ho j’vais en sauver un seul (le mien)

Plaquez de platine votre lit
D’ambre, de perles et de rubis
Si jamais votre peuple s’affole
Pas d’marriage pour les tafioles
NON… OUIIIII!!!
AaaH, je savais bien que ça marcherait sur les cons

Le blingbling démocratique
Va revenir c’est logique
Car comme votent les imbéciles
Notre pognons dans les îles
FAIT LA LOI!!!!!!
Babudipidoubidaboudoupa...

À bon goguettiers, salut!

mercredi 9 septembre 2015

Championnat mondial de la Démocratie.

Bonjour à tous.
Critiquons, moquons-nous, des riches, des puissants, des cons et mal-baisants mais n'oublions jamais que la haine aveugle n'est pas sourde.
Nous aimons tous la démocratie. Enfin, quand je dis tous, j'entends évidemment la majorité d'entre nous qui profitons de sa clémence, de sa douceur et des bienfaits qu'elles nous procurent en autorisant la majorité à représenter les autres. Une étude publiée par Journal of Democraty nous apprend qu'une véritable vague démocratique semble clapoter aux abords des côtes de popularité gouvernementales puisque, d'après elle, le régime démocratique serait prescrit dans 60% des cas d'étatiques triple A.
Youpi!
Fermons une bonne fois pour toute la parenthèse de cette période sombre, mais, fort heureusement, relativement courte de l'histoire de l'humanité où l'homme était un loup pour l'homme et embrassons d'une suave étreinte ce monde sans guerre, sans misère ni colère populaire que nous promet pour un avenir proche le système de gouvernance par procuration suffragère inventé par une bande de vieux barbus vivant le plus clair de leur temps la bite à l'air ou occasionnellement dans l'imberbe gosier de leurs disciples. Car si la majorité des peuples de notre grain de poussière stellaire ont adopté ce mode d'état, et, qu'en vertu de ses propres principes, la majorité suffit à déterminer un ensemble, alors nous pouvons affirmer sans aucune polémique et demi ni patibulaire plutôt dingo, et si tu ne comprends pas dit :"C'nest pas grave.", que la planète entière est démocrate!
Ben voilà, la messe est dite, rien à ajouter, un café, l'addition et patientons les bras croisés de prétextes que la grande démocratie debout, assis, debout, couché, roule en boule, fais la belle, donne la pa-patte, signe TAFTA, c'est bien, qu'elle déferle sur monde comme un caca mais aïe mais aïe de libertés indiscutables illuminant les peuples et de justice aveugle à bord d'un camion de migrants à deux vitesses les guidant de leur gré à moitié vide ou à moitié plein.
Mais j'entends déjà la cohorte des cocos concons, des jolis écolos nient de vacance et les anar nanarnanère me tancer de retourner ma veste encore plus rapidement que le transformiste opportuniste de la chanson éponyme de Dutron, au point de me montrer de quel bois ils se chauffent. Les premiers réfuterons le terme "démocratie" pour qualifier l'organisation étatique de l'Inde ou de l'Ukraine pourtant inclus dans les 60% de l'étude en question. Les seconds renchérirons à gorge déployée que l'entreprise capitaliste est la négation même du pouvoir au peuple et ne revendiquerons qu'un pouvoir direct seul à même de sauver la planète et ses habitants. Qu'en aux derniers, non content de ne pas être d'accord avec les autres, fustigerons l'idée même de représentation avant de brandir leur drapeau de félin rouge et noir en scandant l’international sur l'air de la marseillaise car ces sauvages inconscients ne respecte décidément rien.
Et moi je leur répondrais que leur idéaux de sales jeunes poilus et provocateurs j'veux pas de ça chez moi, que moi aussi j'ai eu des idées mais qu'il faut apprendre à être pragmatique, que c'est le seul système qui vaille preuve en est il est majoritaire même si je ne sais pas vraiment de quel système je parle, que si leurs idées étaient si réelles elles ne représenteraient pas qu'une minorité aussi légitime que celle de leur compagnon des autres extrêmes, bref que la démocratie qu'ils l'aiment ou qu'ils la quittent comme l'univers entier semble l'avoir accepter par progrès ou à force.
Toujours est-il qu'en ce qui me contraint mais ça n'arnache que moi, je n'ai l'impression de me sentir en pleine possession de mes moyens d'actions uniquement sitôt que j'accepte qu'un représentant se charge d'agir pour moi.
À ces mots le corps électoral ne se senti plus de joie. Et pour montrer qu'il a le choix il ouvre un large bec, et laisse tomber sa voix.
Le connard s'en saisit et dit "Mon bon idiot, apprenez que tout électeur vis au dépend de celui pour qui il vote"
Cette immorale vaut bien d'en faire un fromage mon pote.
À bon électeur salut.

mercredi 2 septembre 2015

En goguette #8 : Gattaz et le travail.

Bonjour à tous!
Je n'ai pas eu le loisir de terminer ma chronique hebdomadaire à cause d'un manque de batterie sur mon téléphone, et blablabla excuses minables et autres conneries...
Bref, je vous laisse pas en plan et vous propose une dernière goguette qui n'avait pas encore été diffusée sur ce blog à propos de notre cher Gattaz sur l'air du Jazz et la java de Claude Nougaro.


 
REFRAIN :
Quand Gattaz est, Quand Gattaz est là
Le travail s’en, le travail s’en va
Il y a des dollars à s’faire grâce à la hausse du
Gaz pour que Gattaz ne travaille pas
Chaque année un peu plus, y a la crise qui s’installe
Alors la mains sur l’coeur, les patrons s’font la malle
Leurs grosses fesses bataillent contre les petits revenus
et refusent que la lois soit dicté par la rue

REFRAIN

Quand les coupes béantes au nom d’l’économie
Vendent du rêve libéral à toute la patrie
Droite et gauche disent Bravo et les opportunistes
Comme Gattaz nous engeule, nous traitant de fumiste

REFRAIN

Parisot et Gattaz, c’est du pareil au même
L’un bouffe à la bastille et l’autre chie sur Harlem
Parisot et Gattaz dans le fond c’est tout commence
Tout les deux répondent amen lorsque Valls dit Go rom

REFRAIN

Gattaz et ses copains ça va pas pouvoir l’faire
De leur autocratie j’aimerais bien m’extraire
Je donne à Gattaz mon pied au cul pour ses impôts
Et le travail de ma main ne lui fera pas de cadeau (bis)

À bon goguettier , salut!